Notre Dame des Landes est aussi une question de droits humains
Et si les zadistes de Notre Dame-des-Landes étaient des défenseurs de droits humains ? C’est en l’occurrence ce que Tanguy Martin veut de démontrer dans cette tribune.
Pour cela, il s’appuie sur un document adopté en 2012 par le Comité pour la sécurité alimentaire mondiale de l’ONU, à l’intention des États-membres, décrivant les bonnes pratiques (VGGT) dans l’élaboration de politiques d’accès aux ressources naturelles et en premier lieu la terre, élaborées selon un processus associant de nombreux membres des sociétés civiles à travers le monde, et les rendant légitimes et utiles par les Organisations non gouvernementales (ONG) de défense des droits humains. Seul écueil : leur transposition dans les droits nationaux est volontaire et qu’aucun recours juridique n’est possible.