Échanger et débattre
Soucieux d'ouverture et de partage, Ingénieurs sans frontières souhaite s'inscrire au coeur des débats sur la Solidarité Internationale et l'Education au Développement afin de diffuser et faire vivre ses valeurs au contact du regard d'autrui. Cet enrichissement s'exprime par un contact rapproché d'autres secteurs de la société française (réseaux d'associations, secteur privé, syndical, monde de la recherche...) mais aussi d'autres sociétés dont la voix et les solutions n'ont pas la même visibilité médiatique (sociétés civiles du Sud : ingénieurs, associations et populations défavorisées). Ces temps de réflexions ont pour objectifs principaux de :
- Dénoncer et questionner les dérives du modèle dominant.
- Rendre visible les facteurs générateurs d'inégalités entre les populations du Nord et du Sud.
- Faire émerger les voix des acteurs du Sud.
- Valoriser les solutions et les alternatives en marche pour la construction d'une société humaine et durable.

Histoire des luttes en école d'ingenieur.e: le cas de l'union des grandes écoles (UGE)
18/06/2018Aujourd’hui absent des écoles d’ingénieur·e·s, Le syndicalisme étudiant n’a pas toujours été une «exclusivité» des universités. Retour historique sur la mobilisation étudiante du milieu ingénieur à l’aube des cinquante ans de mai 68.

Enseigner la sociologie à l'école Centrale Paris (CentraleSupélec)
14/06/2018Interview avec Cynthia Collmelere, directrice du département Sciences humaines et sociales à CentraleSupélec, sur les liens entre la quête de sens chez les étudiant·e·s et la sociologie.

La demande de création d'un collége étudiant au sein de la commission des titres d'ingénieur (CTI)
12/06/2018ISF questionne depuis plusieurs années le manque de représentativité étudiante dans la gouvernance Du milieu ingénieur. Retour sur une proposition concrète de changement envoyée à la CTI.

Appel à la dé-corporatisation des luttes
12/06/2018Que ce soit en tant qu’ingénieur·e·s diplômé·e·s ou encore étudiant·e·s, La sélection est un passage obligatoire du parcours ingénieur. En effet, les écoles d’ingénieur·e·s rentrent dans la catégorie des grandes écoles, qui sélectionnent leurs élèves en fonction de leurs résultats scolaires mais aussi de leurs motivations et activités extra-scolaires. Les résultats de cette sélection sont pourtant bien loin des objectifs méritocratiques annoncés.